Depuis, après la dernière sortie du Syli national de Guinée contre le Malawi lors de la 6e et dernière journée des éliminatoires, les commentaires  vont bon train sur la performance de l’équipe et de son sélectionneur . La plupart des observateurs s’inquiètent du niveau affiché par le Syli National à trois mois de la coupe d’Afrique des nations. Si, certains estiment, qu’il vaut se pencher à trouver meilleur que Kaba, d’autres sont par contre déçu de la qualité du jeu produit par la formation Guinéenne. Et cela fait sujet de critiques, dû quelques part, au manque de cohérence dans le choix des hommes et la gestion des matchs par le sélectionneur Kaba Diawara. Qui, après 22 mois à la tête du Syli, n’arrive toujours pas à convaincre l’opinion de sa capacité à aller très loin dans une compétition.

Face à ce valse de critique, le ministre des Sports Lansana Béa DIALLO a apporté son soutien à l’ancien joueur du PSG. Invité sur le plateau de nos confrères d’Espace tv, le patron du département des sports soutien que Kaba a atteint son objectif. « Le contrat, c’est de qualifier l’équipe, et après je veux plus entendre de huitième où de quarts de finale. Je veux minimum une demi finale. Ça c’est le deuxième objectif » a laissé entendre le ministre. Plus loin, Béa DIALLO affirme qu’il n’a pas à s’immiscer dans le choix du sélectionneur et que l’équipe est en reconstruction « la manière dont on a réussi à se qualifier, est une chose, la gestion d’une équipe c’est autre chose. On cherche beaucoup à construire une équipe. Est-ce que ce mon rôle, de dire l’entraîneur à un problème avec tel joueur, il faut prendre des décisions. Ce n’est pas mon rôle. Mon rôle à moi, c’est de permettre à l’équipe d’être dans les meilleurs conditions ». À t’il renchéri. Comme pour dire que, l’objectif principal assigné à Kaba Diawara a été atteint.

De tout évidence, il est primordial de savoir, que les responsables en charge du football guinéen, ne semblent pas adhérer aux cris du cœur, de ces nombreux fans du Syli ,qui craints de revivre les mêmes scénarios de 2021 au Cameroun

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